Archives for avril 2013
Omnia - Fairy tale
Lynne McTaggart Conférence à Toulouse
Frank Darabont La Ligne verte
Paul Edgecomb, pensionnaire centenaire d’une maison de retraite, est hanté par ses souvenirs. Gardien-chef du pénitencier de Cold Mountain en 1935, il était chargé de veiller au bon déroulement des exécutions capitales en s’efforçant d’adoucir les derniers moments des condamnés. Parmi eux se trouvait un colosse du nom de John Coffey, accusé du viol et du meurtre de deux fillettes. Intrigué par cet homme candide et timide aux dons magiques, Edgecomb va tisser avec lui des liens très forts.
Bruno Koeltz Comment ne pas tout remettre au lendemain.
Vous remettez à demain ce que vous pourriez faire aujourd’hui ?
Vous perdez votre temps à des choses insignifiantes, en laissant traîner ce qui est vraiment important ? Peur de mal faire, désorganisation, manque de temps… Les explications, ou plutôt les justifications sont nombreuses.
Si cette tendance empoisonne votre existence, ou celle de votre entourage, vous souffrez sans doute de « procrastination », et cela n’a rien à voir avec la paresse.
Culpabilité, perte de temps, insatisfaction, stress, conflits en sont les conséquences et peuvent se solder plus concrètement par l’échec scolaire, le divorce, la perte de son emploi…
Jean Claude Ameisen Sur les épaules de Darwin
Tous les samedis entre 11 h et 12h, 1 500 000 auditeurs fidèles et passionnés écoutent sur France inter l’émission Sur les épaules de Darwin de Jean Claude Ameisen.
Cette émission lancée il y a 2 ans est devenue une émission culte.
Durant 1 heure Jean Claude Ameisen nous parle. Du monde, des oiseaux, de la nature, de l’évolution…
Il nous propose un voyage. A la rencontre de nous-mêmes.
A la découverte d’un univers toujours plus riche et mystérieux que nous ne pouvons le percevoir, un univers qui nous a fait naître et que nous n’aurons jamais fini d’explorer.
Professeur Ramachandran : Les neurones miroirs participent au processus d’empathie
Le professeur Ramachandran, une autorité dans le domaine des neurosciences, est connu pour avoir développé une thérapie destinée à soulager la souffrance liée à la perte d’un membre.
Chaque neurone établit entre 1000 et 10 000 connexions avec d’autres neurones, ce qui fait que le nombre de combinaisons d’activité cérébrale excède le nombre de particules élémentaires dans l’univers, une complexité incroyable !
Les « neurones miroirs » de type moteur, situés dans les lobes frontaux sont impliqués dans les processus d’émulation et d’imitation, c’est-à-dire que le cerveau, pour imiter un comportement, s’active et observe la situation en adoptant le point de vue de l’autre. Cette compétence acquise par le cerveau a permis une évolution de l’humanité très rapide, beaucoup plus rapide que l’évolution Darwinienne, où l’évolution se développait sur plusieurs milliers ou millions d’années.
Ici, ce processus d’imitation permet de copier rapidement des comportements qui sont intégrés immédiatement par les observateurs, mais aussi par leurs descendants, créant la civilisation et la culture dans laquelle nous baignons.
Parallèlement à ces neurones miroirs moteurs, il existe des neurones miroirs sensoriels, qui s’activent lorsque nous sommes touchés, ou lorsque nous regardons d’autres personnes qui sont touchées.
Ces neurones participent au processus d’empathie et tout ce qui nous sépare de l’autre, ce n’est que notre peau. Sans notre peau, nous pourrions éprouver tout ce que l’autre ressent?
Une conclusion scientifique qui rejoint les traditions orientalistes ou celles des peuples premiers : tout est interconnecté, nous ne sommes pas séparés.
Une réactualisation de ce principe par les neurosciences est porteuse d’espoir.
Certes, nous sommes tous interconnectés dans notre responsabilité d’humain, dans nos relations, dans nos sociétés, dans notre lien à la terre, dans nos actions, nos intentions, nos implications, etc.
Mais chaque nouvelle ouverture de conscience, chaque nouveau point de vue basé sur l’amour, l’empathie, le respect, l’acceptation, l’accueil, est un point de vue qui « dialogue » dans l’invisible avec des milliers d’autres neurones. Chaque nouvelle idée, chaque intention juste pour l’évolution de notre humanité informe les neurones de milliers d’êtres humains?
Cela rejoint la théorie du centième singe : à partir du moment où un certain nombre d’individus adoptent un nouveau comportement, un plus grand nombre va l’adopter aussi, par mimétisme.
Patrice van Eersel rappelait dans un article : « Une mutation autocontrôlée de l’être humain est neuronalement possible. Cette mutation doit se dérouler à la fois sur les plans individuel et collectif, car nos cerveaux sont fondamentalement bâtis pour être reliés à d’autres cerveaux. »
Nous ne sommes pas seuls dans notre coin à cogiter ou à nous transformer, nous « dialoguons » en permanence avec le monde et la plasticité de notre cerveau offre tous les possibles…
Gregg Braden L’espace est vivant ET intelligent.
Et vous et moi nous faisons partie de cet espace!
Dans cette conférence Gregg Braden, nous explique ce qu’est le langage de la divine matrice (ce champs d’énergie qui unifie tout dans l’univers) et ce qu’il appelle la nouvelle science.
Contrairement, dit-il, à la science classique qui considère que l’espace n’est fait que du vide, la nouvelle science tend à prouver que l’espace est une matière vivante, vibrante et intelligente.
L’espace est un champ d’énergie avec lequel nous inter-réagissons à chaque instant de notre vie par les pensées que nous entretenons et les sentiments que nous ressentons.
Gregg Braden La divine matrice
Louis Jouvet dans Knock
Jean-Marc Vallée Café de Flore
Il n’est pas facile de dire adieu à ceux qu’on aime ; pour y parvenir, il faut parfois toute une vie - ou deux. Entre le Paris des années 1960 et le Montréal d’aujourd’hui se déploie une vaste histoire d’amour à la fois sombre et lumineuse, troublante et malgré tout pleine d’espoir.