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Archives for octobre 2013

Le mystère de l’horloge A. Einstein

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Nelson Mandela « Conversations avec moi-même », recueil de notes et correspondances

Extrait d’une lettre adressée à sa femme :« […]
La cellule est un lieu parfait pour apprendre à se connaître et pour étudier en permanence et dans le détail le fonctionnement de son esprit et de ses émotions.

Les individus que nous sommes ont tendance à juger leur réussite à l’aune de critères extérieurs, tels que la position sociale, l’influence, la popularité, la richesse ou le niveau d’éducation.

Ce sont bien sûr des notions importantes pour mesurer sa réussite – et on comprend que beaucoup tentent d’obtenir le meilleur d’eux-mêmes sur ces points.

Mais d’autres critères intérieurs sont peut-être plus importants pour juger de l’accomplissement d’un homme ou d’une femme.

L’honnêteté, la sincérité, la simplicité, l’humilité, la générosité, l’absence de vanité, la capacité à servir les autres – qualités à la portée de toutes les âmes- sont les véritables fondations de notre vie spirituelle.

Mais cette réussite-là n’est pas accessible sans un travail d’introspection véritable et une connaissance de ses forces et de ses faiblesses.

La détention a au moins le mérite d’offrir une bonne occasion pour travailler sur sa propre conduite, corriger le mauvais et développer le bon que l’on porte tous en soi.

La pratique régulière de la méditation, disons un quart d’heure chaque jour avant de se coucher, peut y être très utile. Il est possible que dans un premier temps tu aies du mal à identifier les éléments négatifs de ta vie, mais tu seras récompensée si tu en fais l’effort régulier.

N’oublie pas qu’un saint est un pécheur qui cherche à s’améliorer.

Nelson Mandela

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Xavier Beauvois Des Hommes et des Dieux - Meilleur film, César 2011

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Un monastère perché dans les montagnes du Maghreb, dans les années 1990. Huit moines chrétiens français vivent en harmonie avec leurs frères musulmans. Quand une équipe de travailleurs étrangers est massacrée par un groupe islamiste, la terreur s’installe dans la région. L’armée propose une protection aux moines, mais ceux-ci refusent. Doivent-ils partir ? Malgré les menaces grandissantes qui les entourent, la décision des moines de rester coûte que coûte, se concrétise jour après jour…

Ce film s’inspire librement de la vie des Moines Cisterciens de Tibhirine en Algérie de 1993 jusqu’à leur enlèvement en 1996.

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Hallelujah (shrek song)

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Voix de d’Espen Lind, Askil Holm, Alejandro Fuentes, Kurt Nilsen.

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Leonard Cohen - Take This Waltz

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Sarah Polley Take This Waltz

Quand Margot, 28 ans, rencontre Daniel, l’alchimie est immédiate. Épouse heureuse de Lou, elle réprime cette attirance aussi soudaine qu’inattendue. Lorsqu’elle découvre que Daniel habite depuis peu dans sa rue, Margot voit ses certitudes vaciller.

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Rupert Sheldrake : Un scientifique en rébellion

Le biologiste Rupert Sheldrake était promis à une carrière brillante et conventionnelle. Il a préféré défendre ses idées, bravant les anathèmes du monde académique. Rencontre avec un irréductible.

« La conscience était bien plus vaste que tout ce que mon éducation scientifique m’en avait laissé entrevoir »

La voix posée, le regard clair et rieur, Rupert Sheldrake navigue avec aisance dans ses souvenirs. Le biologiste va sur ses soixante-dix ans, il en paraît quinze de moins et sa mémoire restitue les événements les plus lointains avec une précision toute scientifique, épicée d’humour britannique. Au premier étage de sa maison londonienne, les murs sont tapissés de livres : sciences, philosophie, religion, histoire… L’ambiance cosy du lieu et le flegme de notre hôte feraient presque oublier son statut d’« hérétique » récidiviste. Il le doit à des idées qu’il défend sans relâche depuis trente ans :

la nature est vivante, consciente, l’homme en fait partie intégrante, et la science matérialiste se trompe sur la nature de son objet.

En 1991, il écrivait : « Reconnaître que la nature est vivante exige une révolution dans la manière dont nous menons nos existences. Et il n’y a pas de temps à perdre. »

Signe des temps, les premières copies de son dernier livre The Science Delusion (qu’on pourrait traduire par « la science aveuglée »), paru au début de l’année, se sont vendues en quatre jours.
Très jeune, il a lui-même découvert, puis entretenu, une « connexion consciente » avec la nature. L’un de ses premiers souvenirs marquants remonte à l’âge de 4-5 ans. ll se trouvait chez sa grand-mère, elle-même issue d’une famille de producteurs d’osier des environs de Newark-on-Trent. Tout près de la maison, il y avait une rangée de saules d’où pendaient des câbles rouillés. Il demanda à un oncle pourquoi ces arbres se trouvaient là :

« Il m’expliqua que c’était autrefois une palissade faite de pieux qui avaient repris vie et étaient redevenus des saules. J’étais émerveillé. »

Cet émerveillement précoce se mue en passion. La propriété familiale de Newark est transformée en parc zoologique, où le jeune Sheldrake héberge, entre autres, des pigeons, un choucas, un chien, des tortues, des chenilles, un lapin et des poissons. Il est encouragé par son père, « un naturaliste à l’ancienne », chimiste, herboriste et fin connaisseur des plantes médicinales, premier inspirateur du futur biologiste. Il lui fait non seulement découvrir toutes sortes de plantes et d’animaux, mais aussi nombre de sites anciens et sacrés. S’il y a à la maison un laboratoire avec un microscope, le père Sheldrake est convaincu que « tout ne se réduit pas aux molécules ». Une leçon que son fils n’oubliera jamais. Pour Rupert Sheldrake, la nature c’est la vie, et la biologie une vocation qui coule de source. Dans la pratique, les choses ne sont pas si simples. A 17 ans, il termine ses études secondaires. Ayant quelques mois devant lui avant d’entrer à Cambridge, il trouve un emploi de technicien dans le laboratoire d’une entreprise pharmaceutique. Ce qu’il ne sait pas en acceptant le job, c’est qu’il s’agit d’un laboratoire de vivisection. « Chaque semaine, on voyait arriver des centaines de rats, de souris, six chats, parfois un chien. On pratiquait sur eux des expérimentations, on les empoisonnait, et c’était mon travail de tuer ceux qui survivaient aux tests. » Une tâche qu’il déteste : « Il y avait une énorme tension entre ce que je ressentais pour ces animaux et le fait de devoir les traiter comme des objets, à jeter une fois utilisés. » Il fait part de ses doutes à ses collègues, qui le rabrouent : « C’est pour le bien de l’humanité que nous faisons cela. Vous ne devriez pas vous attacher à ces animaux. L’émotion n’a pas sa place en science. »
Cette réponse n’apaise pas ses doutes, ses études à Cambridge non plus. Son diplôme de biochimie en poche, il obtient une bourse pour aller étudier la philosophie des sciences à Harvard durant un an.« J’essayais de comprendre pourquoi la science était ce qu’elle était. Si elle ne pouvait pas être différente, je n’étais pas sûr de vouloir continuer. » Mais il persévère en étudiant les plantes, avec un succès grandissant. Ses découvertes sur l’auxine, une hormone de croissance végétale, « font aujourd’hui partie intégrante du corpus de la biologie moléculaire ». Ses travaux sur la régénérescence des cellules sont publiés en 1974 dans Nature, la grande revue scientifique.

La contre-histoire
Mais une autre histoire est en train de s’écrire en marge de cette carrière brillante et conventionnelle. Car Rupert Sheldrake n’est pas un rat de laboratoire uniquement préoccupé par ses tubes à essai. Dès que l’occasion se présente, il explore de nouveaux horizons. En 1968, il passe un an à l’université de Malaya, en Malaisie. Il en profite pour aller en Inde, où il découvre « un monde totalement différent de tout ce que j’avais pu connaître jusqu’alors ». Il rencontre des yogis et des saints à Bénarès, la ville sacrée sur le Gange. Dans la foulée, il se rend au Sri Lanka où il visite des monastères bouddhistes.
Le vent de la contre-culture qui souffle au début des années 70 attise sa curiosité. De retour en Angleterre, il s’intéresse aux psychédéliques. Sa première balade sous LSD dans les jardins de Cambridge lui laisse un souvenir inoubliable. « J’ai vu les plantes d’une manière totalement nouvelle, des champs et des flux d’énergie dont je n’aurais pas en temps normal soupçonné l’existence. » Ne s’agit-il pas d’hallucinations sans signification ? « J’ai pensé que cela révélait quelque chose de réel sur la nature de la conscience et de l’esprit en général.»

Amateur de philosophie, il se plonge dans les concepts hindouistes et pratique la méditation transcendantale à partir de 1971. « La conscience était bien plus vaste que tout ce que mon éducation scientifique m’en avait laissé entrevoir », conclut-il de cette période.

Décidément attiré par l’Inde, il accepte un poste dans un institut de recherche à Hyderabad, où il travaille à améliorer le rendement des cultures de pois. A la croisée entre Inde du Nord et du Sud, Hyderabad est un lieu d’histoires et de légendes. Plutôt que de s’installer dans une villa moderne, Sheldrake préfère louer l’aile vide d’un palais décati, propriété d’un rajah, situé en haut d’une colline. Les terrasses sont cassées, les fontaines sans eau tombent en ruine, mais la vue sur le lac est splendide. Cerise sur le gâteau, il déniche chez un loueur de piano du temps de la colonisation anglaise un instrument en état de marche. Chaque jour, les accords de Bach et de Scarlatti résonnent dans le palais, réveillant le souvenir d’anciennes splendeurs.
C’est dans cette ambiance inspirante que ses théories prennent peu à peu forme.

Qu’est-ce que la mémoire ? Comment se transmet l’information dans une espèce ? Deux auteurs français catalysent sa réflexion : Marcel Proust dont il dévore la traduction anglaise d’A la recherche du temps perdu, et le philosophe Henri Bergson dont les ouvrages Matière et mémoire et L’évolution créatrice lui paraissent pénétrants, « en particulier son idée que la mémoire n’est pas stockée dans le cerveau mais qu’elle est transférée à travers le temps ». L’idée de la résonance morphique, centrale dans la pensée de Sheldrake, découle de ces lectures.

Nous sommes en 1978. Il est prêt à écrire son premier livre. Reste à trouver un coin tranquille. Le père Bede Griffiths lui offre l’hospitalité de son ashram bénédictin. Les prières, les repas, les chants et les méditations rythment le travail d’écriture. La pierre angulaire de la théorie est l’hypothèse du champ morphique. Le champ morphique, du grec morphé qui signifie « forme », est un champ d’information qui relie entre eux les membres d’une même communauté. « Qu’il s’agisse de poissons dans un banc ou d’une meute de loups, il y a un champ qui les relie. Quand ils se séparent, le champ s’étend à la manière d’un élastique et continue de les lier », explique Rupert Sheldrake. Ce champ d’information serait donc un « lieu » de connexion instantanée entre ses membres, quelle que soit la distance qui les sépare. Pour Sheldrake, « chaque espèce, y compris l’espèce humaine, a un champ. »
Dans le champ d’une même espèce, l’information est transmise par un mécanisme de « résonance morphique », qui suppose un passage d’information sans support matériel.

Plusieurs phénomènes confortent cette hypothèse, par exemple les changements de comportements au sein d’une espèce dispersée sur plusieurs continents ou encore le vol de nuées d’oiseaux qui tous changent simultanément de direction. La théorie de Sheldrake conteste le rôle central de l’ADN, qui n’est que la matière première de la construction du vivant. Le plan des espèces, en perpétuelle évolution, est dans le champ.

De génération en génération sont transmis des gènes, qui sont matériels, et des champs morphiques, non matériels, lieu d’une transaction continuelle entre héritage du passé et créativité.

Pour qui sonne le glas ?
Le livre intitulé A New science of Life paraît en 1981. Durant les trois premiers mois, il suscite de l’intérêt et fait l’objet de discussions sérieuses. Jusqu’à cet éditorial incendiaire publié en une de Nature : A book for burning (« un livre à brûler ») Le rédacteur en chef de la revue Sir John Maddox estime que « Sheldrake mérite d’être condamné dans les mêmes termes et pour les mêmes raisons qui poussèrent le pape à condamner Galilée : c’est de l’hérésie ».
Rupert Sheldrake savait que la publication de son livre représenterait « un pas irréversible ». Biologiste reconnu, à peine âgé de quarante ans, il aurait pu envisager une confortable carrière d’expert international, ou encore poursuivre ses travaux à Cambridge et briguer la direction d’un institut. Avec l’article de Nature, l’alternative s’impose radicalement : à moins de renoncer à ses idées, le biologiste sera excommunié.

En faisant l’hypothèse que l’esprit n’est pas contenu dans le cerveau et que la mémoire n’est pas stockée sous forme de traces matérielles, Sheldrake contredit deux dogmes de la science matérialiste, jamais prouvés mais implicites.

Certains physiciens sont plus ouverts à ces thèses que les biologistes.

Et pour cause : depuis plusieurs décennies, la physique quantique a détruit l’illusion d’une matière solide et inerte, existant indépendamment de son observateur.

Quant à la théorie de la relativité, elle a définitivement changé l’approche du temps et de l’espace. En 1982, David Bohm, physicien réputé, dialogue avec Sheldrake sur les convergences entre la théorie des champs morphiques et ses propres conceptions du temps et de la conscience. Mais l’entrée officielle de la physique quantique en biologie n’aura lieu que trois décennies plus tard.
En attendant, « je suis devenu quelqu’un de dangereux à fréquenter » s’amuse Sheldrake. Il ne perd ni ses amis scientifiques, ni son poste à Cambridge. Mais la mise au ban est bien réelle. « Il fallait pas mal de courage pour m’inviter à donner une conférence, car il se trouvait toujours quelqu’un pour dire que ma venue allait discréditer l’institution. » Ses projets de recherche ne trouvent plus de financement. Il constate aussi une forme de schizophrénie chez des scientifiques intéressés par ses idées en privé, mais qui ne le soutiennent pas en public.

« Je suis un scientifique et j’aime la science »

Le temps du combat
La controverse n’effraie pas Rupert Sheldrake. « Le soir au dîner, il n’aimait rien tant qu’un bon débat sur une théorie avec laquelle il était en désaccord », se souvient un anthropologue hébergé chez lui il y a quelques années. Loin de faire machine arrière, Sheldrake endosse le costume d’hérétique, et s’en fait une armure. Irréductible, l’enfant chéri de Cambridge et du prestigieux Clare College décide d’appuyer sur « les points d’acuponcture de la science ».
S’aventurant hors des champs morphiques, il s’intéresse à la télépathie chez l’homme et l’animal. Dans son livre Ces chiens qui attendent leur maître, paru en 2000, il relate ses études sur des animaux qui semblent pressentir le retour de leur propriétaire à plusieurs kilomètres de distance. Le livre, « qui correspond à l’expérience des gens », rencontre son public. Le biologiste s’intéresse également à la télépathie chez l’être humain, et met au point des expériences simples et peu coûteuses qui permettent d’appréhender le phénomène.
Pour la communauté scientifique, Sheldrake est définitivement perdu. Ce dernier défend son approche :

« Pour le monde académique, la télépathie est un tabou et les sceptiques se font un devoir de jouer les sentinelles pour écarter toute découverte positive à ce sujet, expliquait-il lors d’une conférence. Mes recherches sur les animaux montrent que la télépathie est naturelle, et non pas surnaturelle. Mais les gens ont peur parce qu’ils pensent que si la télépathie existe, il faudra croire en Dieu et que le pape va débarquer par le prochain avion. »

Après le tsunami de décembre 2004, lorsqu’une équipe de recherche internationale se met en place pour étudier les moyens de prévenir de telles catastrophes, il suggère au représentant britannique de consacrer une petite part du budget – moins de 1 % – au comportement animal. Les médias internationaux ont en effet rapporté que des animaux de plusieurs espèces s’étaient mis à l’abri bien avant la déferlante. « Ils m’ont répondu que ce n’était pas de la science, mais du folklore. Leur programme visait à essayer de donner des avertissements en cas d’imminence de tsunami. « Et vous n’accordez aucune attention aux animaux qui donnent ce type d’avertissement, préférant vous concentrer sur des solutions technologiques onéreuses. » Pour moi, c’est de l’aveuglement, voire de la stupidité ! »
Dans son dernier livre, il réitère sa proposition d’étude des prémonitions animales. Quand Sheldrake pense qu’une idée est valable, il persiste. « Sinon, dit-il, je sais qu’il ne se passera rien. » Pour lui, l’enjeu va bien au-delà d’une controverse entre scientifiques.

« Lorsque j’ai publié mon livre en 1981, le combat était alors essentiellement théorique. Mais je me suis vite rendu compte que la façon mécaniste de penser la nature était en train de s’étendre à l’ensemble du monde, et de créer la crise environnementale que nous affrontons aujourd’hui. »

Penser le monde comme un organisme vivant, nous reconnecter aux expériences intuitives vécues en lien avec la nature, approfondir notre conception de l’humain… A ses yeux, ce type d’évolution pourrait être salutaire.

Le retour en grâce

Selon lui, il est temps que la science s’affranchisse du matérialisme, une idéologie élaborée au cours des quatre derniers siècles, dont les présupposés, trop souvent présentés comme scientifiques, sont en réalité au service d’une vision du monde qui montre aujourd’hui ses limites.

A adhérer aveuglément au mythe du surhomme scientifique épris de vérité et au-dessus de toutes les passions, nos sociétés laissent en fait des intérêts divers, idéologiques et financiers, restreindre le champ de la science, et orienter les choix et les décisions. Dans le domaine de la médecine par exemple, les compagnies pharmaceutiques ont breveté de nombreux médicaments à l’efficacité douteuse, parfois nocifs, qu’elles ont sur- vendus à grand renfort de publicité, en manipulant la caution scientifique.
Contrairement aux précédents, The Science Delusion, qui développe ces thèmes, a été plutôt bien accueilli par la critique. S’il fait aussi l’objet de commentaires acerbes, certains indices suggèrent que le vent est en train de tourner. Suite à la parution du livre, le magazine britannique The Architectural Review a publié un article de Sheldrake dans sa rubrique The Big Rethink, consacrée aux visions novatrices. Lors d’un séminaire de psychologie à Cambridge, plusieurs étudiants ont été enthousiasmés par ses idées, au point que la discussion s’est poursuivie au pub.
Pour Sheldrake « cette ouverture fondamentalement nouvelle » est d’abord liée à l’essoufflement d’une vague d’athéisme militant, dont la figure de proue est le biologiste Richard Dawkins, auteur de l’essai Pour en finir avec Dieu. « Les attaques ont été extrêmement agressives envers tout ce qui ne cadrait pas avec cette conception limitée de la science et de la raison » estime Sheldrake, et « le public a pris conscience du dogmatisme de certains scientifiques ». Ensuite, l’effondrement des certitudes dans les domaines politique et économique a révélé le besoin « d’une nouvelle façon de penser ».
S’agit-il pour autant de ramener Dieu au coeur de l’équation ? « Je suis un scientifique et j’aime la science » martèle Sheldrake. Lui-même adhère à une spiritualité hors des dogmes, une sorte de panpsychisme, et rejette la notion de surnaturel.

« Ma propre vision s’apparente à du naturalisme, une doctrine selon laquelle tout est naturel. Je pense qu’il y a de la conscience dans le soleil, le système solaire et la galaxie, comme il y en a dans un proton, un électron, un atome, ou en nous-mêmes. Il s’agit de différents types de conscience bien sûr ; et il y a aussi dans l’univers un esprit cosmique ». Cet esprit cosmique est-il Dieu ? Ce serait alors « un dieu naturel », qui peut être expérimenté par la conscience. D’ailleurs, conclut le biologiste, « un dieu d’une autre sorte n’aurait aucun intérêt ».

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Dialogue avec l’ange Gitta Mallasz

«Attention, ce n’est plus moi qui parle !»

Par ces mots commence, dans un petit village de Hongrie, une étonnante aventure spirituelle.
En 1943, au coeur de l’Europe déchirée, quatre jeunes gens - Hanna, Lili, Joseph et Gitta - décident d’installer à la campagne leur atelier de décoration.
Eloignés de toute pratique religieuse, mais en quête de vérité, ils souhaitent vivre une vie plus attentive à l’essentiel.
Dès lors, et durant dix-sept mois, des forces de Lumière - que les quatre amis appelleront aussi «Anges» ou «Maîtres intérieurs» - s’expriment de façon régulière par la bouche de Hanna.

Et pour ceux qui voudrait voir le film documentaire.

Neale Donald Walsch Conversation avec Dieu, Extrait du film.

Neale Donald Walsch Conversation avec dieu

 

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Dr Candace Pert Les molécules des émotions. L’esprit et le corps seraient-ils inséparables ?

Le fossé que beaucoup d’entre nous voient entre l’esprit et le corps serait illusoire. Le Dr Candace Pert montre combien, au cœur de nos cellules, l’un ne va pas sans l’autre. L’esprit et le corps seraient-ils inséparables ?

« Il peut y avoir deux états de la conscience. La conscience peut opérer à la fois de manière localisée, c’est à dire de manière somatique dans le corps, ou de manière délocalisée quand elle est hors du corps. En d’autres termes, l’esprit et le corps constituent une véritable unité psychosomatique. Mais l’esprit, qui n’est pas physique - une pensée n’a pas de masse, de volume ou de forme – peut aussi fonctionner sans substrat biologique ».

Nous vivons dans une société qui s’occupe majoritairement du corps comme on s’occupe d’une voiture. On y met du carburant, on répare ici et là, on change quelques pièces et on espère que notre véhicule nous mènera loin. De l’autre coté, notre psychologie est traitée comme étant indépendante de ce corps physique. On l’aborde surtout par la parole avec des amis ou un psy essayant de provoquer quelques prises de conscience qui régleraient nos problèmes.

Toutefois, les travaux du Dr Candace Pert, chercheuse mondialement connue en pharmacologie, auteur de plus de 250 publications scientifiques, montrent que cette séparation n’est pas si évidente. Notre physiologie et notre psychologie seraient constamment en train de s’influencer. Echanges incessants d’informations d’une part, co-création d’états d’être d’autre part. Bien que le Dr Pert soit loin d’être la seule à s’aventurer sur ce pont entre l’esprit et le corps, ses recherches sont fondamentales pour bien comprendre comment ce dialogue se fait dans l’intimité même de nos cellules. Voyage au cœur d’une biologie psychique… qui pose la question de l’interdépendance de l’esprit et du corps.

Les molécules des émotions

Plantons le décor. Notre organisme est composé de nombreux éléments : des molécules, des cellules, qui s’organisent en organes, en systèmes… Et histoire que notre jambe gauche ne soit pas en train de partir de son coté alors que la droite a décidé de partir du sien, ou que notre cœur ne se mette pas à battre à toute berzingue alors que nous sommes dans une phase de détente profonde, notre corps possède trois grands systèmes régulateurs. Le système nerveux, le système endocrinien et le système immunitaire sont chargés de faire en sorte que tout fonctionne de concert. Pour cela, un peu comme des musiciens qui lisent les mêmes notes de musique, ces systèmes utilisent les mêmes molécules pour se parler. Ils ont un langage commun, c’est plus pratique. Cette grande orchestration se fait alors grâce aux molécules dites « de l’information », qui sont à 98 % des peptides (hormones, neurotransmetteurs… etc). « Les peptides servent à réunir les organes et les systèmes du corps en un seul ensemble qui réagit aux changements internes et externes », nous dit Candace Pert. Vous l’avez donc compris, ces molécules sont essentielles au bon fonctionnement de tout l’organisme.

Là où ça devient croustillant, c’est que ces fameuses molécules de l’information seraient exactement les molécules qui sont produites lorsque nous avons des émotions. « Les émotions créent toujours un courant spécifique de peptides dans le corps et influencent notre biologie », poursuit le Dr Pert. Effectivement, de très nombreuses recherches en neuro-endocrino-immunologie, dont certaines menées par le Dr Pert elle-même, ont mis en évidence la correspondance entre nos états émotionnels et la production de ces fameux peptides. C’est ce que confirme le Dr Louis Teulières, un immunologiste qui a travaillé plus de vingt ans en recherche dans les instituts Pasteur et à l’hôpital : « Il est évident que chaque processus émotionnel produit un cocktail hormonal qui interagit avec l’architecture à étage des grands systèmes du corps ». C’est pour cela qu’on entend parler dans la presse « d’hormones du stress » ou « d’hormones de l’amour ». Voilà un fait qui laisse perplexe. Loin d’être juste psychologiques, les émotions seraient aussi moléculaires et auraient un impact sur notre physiologie. Mais alors, qui de la poule ou de l’œuf apparait en premier ? Les émotions créent les molécules ? Les molécules créent les émotions ? Ou est-ce un seul et même phénomène ?

Un réseau psychosomatique

La psychologie influence-t-elle la biologie ou bien est-ce la biologie qui influence la psychologie ? Nous ne sommes pas les premiers à nous poser la question. Dès la fin du 19ème siècle, le psychologue et philosophe William James, considéré comme le père de la psychologie américaine, élabore une thèse selon laquelle chaque réaction corporelle produit une sensation que le cerveau perçoit comme un élément psychique. En ce sens, les émotions sont produites par le corps. Par la suite, le physiologiste Walter B. Cannon, dont les découvertes sur les réponses au stress et le concept d’homéostasie sont primordiales, pense à l’inverse que les émotions sont produites dans le cerveau et qu’elles provoquent des réactions corporelles.

Candace Pert, de son coté, pense que les deux ont raison. « C’est un système fait de réponses rétroactives qui marchent dans les deux sens, nous dit-elle. Les émotions transforment littéralement l’esprit en matière, et à chaque fois qu’il y a production de peptide cela crée de la psyché. Le corps et l’esprit sont intrinsèquement liés, dans un sens ils ne font qu’un ». L’esprit créé de la matière, la matière crée de l’esprit. Notre organisme est le résultat de cette chimie qui naît de la rencontre entre la biologie et la psyché, une chimie constamment renouvelée.

On le voit dans notre quotidien. Pour certaines femmes, il n’y a pas photo. Elles sont boudeuses ou joyeuses selon la phase de leur cycle menstruel. Leur biologie a raison d’elles. Inversement, comme nous l’explique le Dr Louis Teulières, nos états d’âme influencent notre santé. « Quand on est en état de stress, on a souvent des inflammations en tous genres : ulcère, eczéma… Soignez votre stress et vous verrez vos inflammations s’apaiser ». Voltaire ne nous avait-il pas dit : « j’ai décidé d’être heureux parce que c’est bon pour la santé » ?

Que ce soit dans un sens ou dans l’autre, la psychologie et la biologie semblent bien se moduler l’une et l’autre constamment, et faire ce que nous sommes au quotidien. Et France Haour, ancienne directrice de recherche pour l’INSERM, enfonce le clou : « On sait très bien aujourd’hui que la psychologie influence tout le reste et que tout le reste influence la psychologie. Plus personne n’oserait prétendre que l’on peut mettre la psyché dans un bocal et le corps dans un autre. Ce serait une aberration totale ». Ca a le mérite d’être clair. Mais quelle est réellement la fonction des émotions dans tout ça ?

Un tri émotionnel

Pour Candace Pert, les émotions sont à la fois immatérielles et matérielles. Elles seraient alors des messagères qui permettraient des échanges d’informations constants entre l’esprit et le corps. « Les émotions voyagent à la fois dans le royaume de l’esprit et dans celui du corps, et permettent l’échange d’informations », nous dit-elle.

Par ailleurs, ayant chacune une qualité qui lui est propre, les émotions mettent des couleurs, des textures, des saveurs à notre quotidien. Elles nous montrent comment nous expérimentons le monde, nous indiquant ce qui est agréable ou désagréable pour nous. Par là, elles conditionnent nos réactions physiologiques et psychiques à chaque chose que nous vivons. Et cela peut être très différent d’une personne à l’autre. « Si nous percevons un signal comme étant un stress, nous mobilisons le système neuro-endocrinien d’une certaine manière pour y répondre, ce qui aura une influence sur notre santé. Nous adaptons nos réponses en fonction de comment nous percevons chaque situation, et cela change d’un individu à l’autre », nous dit le Dr Teulières. Les émotions nous permettent alors de faire un tri, de nous positionner, de faire des choix. Effectivement comment savoir si la température de la pièce est bonne pour nous ou si la présence de quelqu’un nous convient, si ce n’est par un ressenti personnel ? Comment décider de nos choix quotidiens si nous n’avons pas de préférence ? « Les émotions sont constamment en train de réguler ce que nous expérimentons comme étant la « réalité ». Une fonction des émotions est de nous permettre de décider ce à quoi nous devons prêter notre attention », souligne le Dr Pert.

L’esprit et le corps, inséparables ?

Au cœur de notre biologie l’esprit et le corps ne font qu’un. Mais que penser alors des expériences de mort imminente durant lesquelles l’esprit semble pouvoir évoluer sans support physique ? En effet, une multitude de personnes ont rapporté, alors qu’elles étaient cliniquement « mortes », des informations pertinentes et vérifiables auxquelles il était impossible qu’elles aient eu accès. Par exemple : des discussions ou des faits précis qui se sont déroulés dans des lieux distants alors que leur corps physique était au bloc opératoire. Comme si leur esprit avait voyagé sans le corps.

Le Dr Mario Beauregard, un chercheur en neuro-psychologie de l’université de Montréal qui a longuement étudié les effets des expériences transcendentales sur nos neurones, propose une allégorie. D’après lui nous pourrions considérer notre esprit comme les physiciens quantiques considèrent les quanta - les unités de base de notre matière. La plupart du temps ces unités opèrent sous forme d’ondes et parfois elles deviennent particules - quand on cherche à les mesurer, c’est à dire quand on les localise. Un phénomène similaire se produirait avec notre esprit. La corrélation entre l’esprit et le corps serait le résultat d’une localisation de l’esprit, il est alors « intriqué » avec le corps biologique. Mais il pourrait aussi exister sous une forme non locale et évoluer en dehors de l’espace et du temps.

« Il peut y avoir deux états de la conscience. La conscience peut opérer à la fois de manière localisée, c’est à dire de manière somatique dans le corps, ou de manière délocalisée quand elle est hors du corps. En d’autres termes, l’esprit et le corps constituent une véritable unité psychosomatique. Mais l’esprit, qui n’est pas physique - une pensée n’a pas de masse, de volume ou de forme – peut aussi fonctionner sans substrat biologique ».

Il semble donc à la fois important de réhabiliter cette intrication entre la psyché et le corps – surtout en ce qui concerne nos approches médicales et thérapeutiques qui ont tendance à les séparer - tout comme le fait que notre psyché peut, dans certaines circonstances, opérer aussi de manière non locale.
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Voyage au-delà de mon cerveau Bolte Taylor Jill

Le jour où Jill Bolte Taylor, chercheuse en neurosciences à Harvard, est victime à trente-sept ans d’un accident vasculaire cérébral, sa vie bascule : elle assiste à la dégradation de ses facultés au point qu’en l’espace de quelques heures elle ne peut plus marcher, parler, lire, écrire, ni même se rappeler à quoi sa vie ressemblait jusque-là.

A travers son récit, elle nous confie avec autant de précision que d’humanité ses observations, ses émotions et ses techniques pour se réapproprier le monde durant les huit années qu’il lui a fallu pour retrouver toutes ses facultés.

Un témoignage profondément émouvant sur la paix intérieure à laquelle chacun de nous peut accéder.

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Christiane Singer Histoire vraie d’un vieux rabbin de Vienne

Un vieux rabbin qui sent la mort s’approcher se demande comment il pourrait faire pour aider l’humanité une dernière fois.

« Ne laisse aucune trace de ta souffrance sur cette Terre » entend-il comme réponse.

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Plaire à autrui.

Un enfant demande à son père : - Dis papa, quel est le secret pour être heureux ? Est-ce de rendre les gens heureux autour de soi? Alors le père demande à son fils de le suivre; ils sortent de la maison, le père sur leur vieil âne et le fils suivant à pied.

Et les gens du village de dire - Mais quel mauvais père qui oblige ainsi son fils d’aller à pied -Tu as entendu mon fils? Rentrons à la maison, dit le père.

Le lendemain ils sortent de nouveau, le père ayant installé son fils sur l’âne et lui marchant à côté. Les gens du village dirent alors : - Quel fils indigne, qui ne respecte pas son vieux père et le laisse aller à pied !

- Tu as entendu mon fils ? Rentrons à la maison.

Le jour suivant ils s’installent tous les deux sur l’âne avant de quitter la maison. Les villageois commentèrent en disant : - Ils ne respectent pas leur bête à la surcharger ainsi !

-Tu as entendu mon fils ? Rentrons à la maison.

Le jour suivant, ils partirent en portant eux-mêmes leurs affaires, l’âne trottinant derrière eux. Cette fois les gens du village y trouvèrent encore à redire : - Voilà qu’ils portent eux-mêmes leurs bagages maintenant! C’est le monde à l’envers !

- Tu as entendu mon fils ? Rentrons à la maison.

Arrivés à la maison, le père dit à son fils : - Tu me demandais l’autre jour le secret du bonheur. Peu importe ce que tu fais, il y aura toujours quelqu’un pour y trouver à redire.

Fais ce qui te plaît et tu seras heureux

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Woody Allen BLUE JASMINE

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Alors qu’elle voit sa vie voler en éclat et son mariage avec Hal, un homme d’affaire fortuné, battre sérieusement de l’aile, Jasmine quitte son New York raffiné et mondain pour San Francisco et s’installe dans le modeste appartement de sa soeur Ginger afin de remettre de l’ordre dans sa vie.

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« Journal intime » de Nanni Moretti

Journal intime est composé de trois épisodes dans lesquels Nanni Moretti joue son propre rôle dans une sorte de dialogue avec son journal intime comme le suggère le titre.

Le premier épisode, En Vespa, montre l’acteur dans sa promenade en Vespa à travers les quartiers d’une Rome estivale et à moitié déserte, interrogeant des passants.

Dans le second épisode, Les îles, Moretti est en voyage dans les îles éoliennes, fuyant la frénésie de la vie citadine.

Le dernier épisode, Les Médecins, raconte son odyssée, autobiographique et en partie filmée depuis la vie réelle, aux prises avec un lymphome de Hodgkin (tumeur du système lymphatique au pronostic plus favorable en regard du lymphome non Hodgkin), dont il ne s’est rendu compte qu’après une série d’avis discordants, consultations imprécises, soins inutiles et dispendieux. À partir du symptôme d’un prurit en évolution au point de perturber son sommeil, de transpiration et d’amaigrissement, il s’adresse en vain à plusieurs « lumières » de la dermatologie, obtenant seulement de continuelles prescriptions pharmaceutiques, de différents types de shampoings et enfin d’une cure dans une localité balnéaire. Après avoir risqué un choc anaphylactique à cause d’un vaccin qui se révélera inutile, il se tourne vers la médecine orientale. Un médecin acupuncteur lui conseille des contrôles radiographiques ; le scanner semble indiquer la présence d’un sarcome pulmonaire incurable ; l’intervention chirurgicale met cette fois en évidence un lymphome de Hodgkin pour lequel le réalisateur commence des séances de chimiothérapie, qui se déroulent et qu’il filme dans son appartement. En consultant une encyclopédie médicale, Moretti trouve la confirmation de ce que les symptômes de cette maladie sont bien ceux dont il a souffert et dont il a toujours fait état en anamnèse. Déçu (« les médecins savent parler mais pas écouter »,

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Methode SILVA technique pour mieux vivre Lee Pascoe

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Hubert Selby Le saule

Mais peut-on vraiment guérir de la haine et des rêves de vengeance ?

Dans le South Bronx, une bande vient d’attaquer un couple d’adolescents. Maria est défigurée par un jet d’acide. Bobby, tabassé à coups de chaîne de vélo pisse le sang. Hagard, perdu, il trouve refuge dans une cave où Moishe, un vieux clochard, le soigne.

 

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La folie comme extension de la conscience ?

« La transe et le sacré »

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Que se passe-t-il lors d’une transe ? Quelle partie de l’humain y est-elle convoquée ? Et par voie d’exclusion, quelle part d’irrationalité, ou de supra-humanité, une transe permet-elle de mettre en relief ?

Pour répondre à cette question, nous avons convié autour de Michel Cazenave : Isabelle Celestin-Lhopiteau (psychiatre), Djohar SI Ahmed (psychiatre, secrétaire générale de l’Institut Métapsychique International, IMI) et Edouard Collot (Hypnothérapeute).

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